Au milieu des rizières fleurit un cerisier dans ses branches se glisse un étrange silence deux amoureux s'enlaçent en bordure de rivière la lumière amusée s'y grise en rose et vert de la forêt voisine, îvre de sang, de chasse les hommes tuent le cerf |
Sous les perles, cerises ornant de rouge l'air deux amoureux s'étreignent soupirent, se caressent les flocons de lumière volettent, plein de paresse où est-ce la poussière de fumées nucléaires qui lentement tapisse la joue bleue de l'eau claire ? |
A l'ombre d'un cerisier s'installe la fraîcheur les heures, lentemement bruissent dans la douce torpeur au loin, dans la clairière on dépèce un grand cerf une centrale explose en fusion de vapeur et deux amants complices s'endorment dans les fleurs. |